À force de voir les plus belles filles du monde en Russie et en Ukraine, j’ai commencé à me demander s’il s’agissait d’un écran de fumée ou était-ce réellement une source de beauté de jouvence. Comme si les peuples de l’Est avaient un talent spécial pour concevoir de si belles femmes, grandes, sexy, longilignes, belles comme des déesses.

 

 

En fait pour être honnête j’ai commencé à m’intéresser au tennis en allumant la télévision lors d’un match entre Anna Kournikova et Maria Sharapova. À ce moment j’ai regardé sur la carte à quelle distance se trouvait la Russie et j’ai décidé de voyager.

 

Saint-Pétersbourg plutôt que Moscou

 

Au départ je trouvais que cette ville qui a été fondée au bord de la mer par l’empereur Pierre-le-Grand me semblait plus propice à une découverte en profondeur de la Russie. Mais j’ai rapidement compris que j’étais trompé. Il semblerait que Saint-Pétersbourg n’est pas exactement la ville représentative de la majorité des villes russes. Tout y est trop beau, trop flamboyant et accrocheur. L’architecture est démesurément belle, les colonnes de marbre, les édifices de couleurs pastelles, les dorures sur les églises. Tout cela est magnifique. Mais alors que dire des filles russes qui marchent dans la rue ? Le spectacle est trop beau, absolument déconcertant. À y perdre la raison.

 

 

Attention aux arnaques

 

Certaines femmes prodigieusement belles en profitent allègrement pour alpaguer des hommes étrangers un peu naïfs, qui pensent avoir découvert le trésor dans la caverne d’Ali Baba. Je me suis demandé si j’étais subitement sorti de l’anonymat en franchissant la frontière. Comment se fait-il que subitement je sois devenu une sorte de Alain Delon au sourire ravageur ? Il parait que la concentration de femmes célibataires est plus importantes dans les pays de l’Europe de l’Est. Si vous ne me croyez pas, allez-y par vous-même mais faites attention, l’ivresse des profondeurs russes est un mal dont on ne se soigne pas une fois qu’on a visité…

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